samedi 26 novembre 2011

Damn... Mistakes & dirty little secret tonight.

Je suis partiiiiiiiiiiiiiiiie en vriiiiiiiiiiiiiiiille, vraiment ! Si certaines personnes savent ces choses là, ou si cela se sait, mais je suis hyper mal, dans le genre vraiment dans le merde ! Parce que tout a été très vite et que j'ai fini en boule dans un fauteuil inconfortable avec une veste trop grande pour moi en guise de couverture pour échapper à ce froid glacial de cette petite pièce tellement kitch, et à faire la morte pour ne pas affronter la réalité, pas tout de suite, me préserver encore une heure ou deux de tout, de toi, de vous, de ça. Pitoyable. Et puis je me suis rendue compte que j'avais tellement peur, peur de m'attacher, de souffrir, de m'engager dans un truc impossible, de regretter avant même que cela ne commence. J'ai peur de pas être normale, de sans cesse vouloir quelque chose que je ne désire plus au moment voulut. C'est en train de bouillonner dans mon coeur et dans ma tête. Je crois que j'arrive plus à m'ouvrir, parce que je me méfie de tout le monde. J'ai l'impression d'être plus forte toute seule vous comprenez ? Je préférerais qu'on soit deux, mais je ne veux pas dépendre de quelqu'un, j'ai la trouille de ça. Je crois que je dois aller consulter, sans rire. Enfin, le fait est qu'à ce moment précis, avec ce petit secret et le choc que ça pourrait produire à la moindre faille je suis en train de me trouver la meilleure excuse stupide à servir en cas de besoin, à savoir qu'il paraît qu'on est jeunes et cons.

lundi 21 novembre 2011

[...] Tu réapparais, comme si je t'attendais...
Alors va te faire (Oh oh oh) ! Tu sais maintenant j'ai mieux à faire (oh oh oh) ; tu peux remuer ciel et terre (oh oh oh) ! Ah d'accord tu sais que c'était dur et t'en ai désolé. Les temps ont changé et la roue a tourné à moi de jouer. [...] Nan mais tu croyais quoi ? J'ai eu le temps d'oublier les rêves, les faux espoirs, qui font partis du passé ! Souviens-toi, regrette-moi !

mercredi 16 novembre 2011

I think we have an emergency...


J'en ai gros sur la patate. J'ai bien envie de prendre une grande valise, et de prendre le train, et de m'arrêter à la gare la plus accueillante, et de m'évader, juste quelques jours. Parce que déjà je broie du noir alors que rien ne va mal. Excepté une dispute stupide et immature avec une amie censée être plus que ça, et son retour à lui. Je vous explique plus en détails. Ça fait un peu plus d'un mois que je converse avec un garçon super, dans tous les sens du terme. Seulement voilà, j'étais sure d'avoir des sentiments pour lui (lui qui d'ailleurs, est déjà un peu trop attaché à moi, et moi qui ai la trouille de faire confiance, on se demande à quoi c'est dût.. Vous allez comprendre.), et là, j'apprends que LE mec, (LE mec que j'ai aimé durant presque un an, à cause de qui j'ai tellement déprimé), n'est plus avec sa copine, et d'après des amies, ce serait possible que ce soit à cause - ou grâce - à moi ; et de cette nuit où je suis allée dormir chez lui, et où - je ne suis pas sure de ce que j'avance, mais c'était tout de même flagrant - il a failli m'embrasser. Soit trois semaines avant qu'IL quitte sa copine. Et voilà, tout est chamboulé dans ma tête, il a encore renversé la donne, il est revenu alors que tout paraissait paisible. Il avait pas le droit de faire ça. Maintenant je suis pommée. Mon humeur a chuté à 2 sur une échelle de 10. Quand même 2, car le meilleur des meilleurs des amis m'aide avec ces stupides folies ?





BREF. J'ai pris ma décision maintenant. Plus de souffrances, plus de faux espoirs, plus de futiles espérances.
Et je peux même confirmer, oui. Oui, c'est pour moi qu'il a quitté sa jolie copine. "Et bien dommage, tu arrives un peu tard."

samedi 12 novembre 2011

Avant j'étais une toupie.

Je me sens aussi vide qu'une coquille. Il y a rien qui puisse faire que je me sente comme ça, ou bien il y a trop de petites choses qui se sont accumulées. J'ai l'impression de ne plus rien avoir à faire, d'aller nulle part. "Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé." Et si c'était ça finalement ?

lundi 7 novembre 2011

Pourquoi elle bousille tout ? Toujours tout, toujours toi, et un peu de moi avec ça.

Parfois tu accordes ta confiance aux gens, et même plus que ça, tu leur confies tes faiblesses, tes peurs, et même tes craintes les plus profondes. Et en réalité, si ce n'est pas un regard de défi, c'est en tout cas de la concurrence à présent. J'en suis maintenant persuadée. Oui je t'ai aidé, je t'ai relevé, et j'ai fait tout ce que je pouvais pour que tu te sentes bien avec des gens bien. Mes amis qui plus est. Et quoi ? Non t'as pas le droit, et encore moins lui, tu le sais tellement bien. J'ai envie de vomir.

vendredi 4 novembre 2011

« Parfois, tu dois laisser les choses s'en aller pour que de meilleures choses puissent arriver dans ta vie. »

Il y a trois mois jours pour jours et à cette même heure, nous étions ensemble, comme invincibles. Je sais que pour être forte, il faut s'accorder la faiblesse, et c'est ce que j'ai fait. On se retiendra plus désormais, laisse moi aller, je ferais de même.
Mais sache que... Tu me manques quand même.
"Il n'était pas chirurgien, infirmier, ni même secrétaire médical ou pharmacien. A vrai dire, il ne connaissait rien à la médecine. Pourtant il est le seul à avoir su guérir une blessure que je pensais incapable à cicatriser. Il n'existait aucun traitement pour ça. Il est arrivé, sans prévenir, avec son charme fou, sa gueule d'ange, sa gentillesse et son humour ravageur. Mon cœur s'est remit à battre, comme ça, d'un coup. L'engrenage a reprit. Et je le remercie sincèrement,.."

mardi 1 novembre 2011

C'était une soirée de plus.

J'me souviens d'être tombée sur un fauteuil, j'me souviens que tu m'expliquais que tu voyais des têtes à cause de la tapisserie des murs, j'me souviens de t'avoir poussé dans le couloir car tu me retenais, j'me souviens d'une dispute entre nous et de ton incompréhension, j'me souviens m'être dit que ça devait être cool de danser dans un état pareil, et j'me souviens d'être parti très vite, la tête glacée et les jambes engourdies.