jeudi 27 décembre 2012

J'ai trop mangé, je suis fatiguée, ça m'épuise ces interminables repas de famille. Mon père m'a souri, et m'a servi trop de verres. J'ai fais n'importe quoi, genre je l'ai appelé les larmes aux yeux en lui lançant à la tête ce que j'avais sur le coeur, et c'est son frère qui avait décroché. L'erreur. (Rien ne dure, rien ne dure, jamais, souviens toi de moi quand même, et de ces mois qu'on a passé à se marrer.)
J'vais encore tenter un plan tordu pour retourner dormir chez le mec, vous savez, celui dont je ne suis pas amoureuse. C'est vraiment nul. Je sens le tabac et j'suis allée chez le coiffeur. J'écoute la même musique en boucle depuis trois jours. J'ai des pincements de coeur et des sauts d'humeur effrayants. A part ça, j'ai un nouveau tapis de yoga, un vrai tout beau, et il est rose. 


dimanche 16 décembre 2012

Bon ok, débriefing !

Cette chose que j'ai écris dans mon article précédent, je lui donnerais moi même mardi donc, ou mercredi (s'il s'avère qu'il y a sa pute dans les parages). Le site de l'APB vient d'ouvrir, et je me suis à peu près stabilisée dans mes choix d'orientation. Je meurs au concert de Broussaï avec ma meilleure amie le 21 au soir, ça c'est cool (en vrai, j'y crois pas hein, que ce soit clair, mais ça me dérangerait pas). J'ai décidé que je devais vraiment évoquer ce mec, car bon, tout de même. Ok alors, je sors avec un gars qui a trois ans de plus que moi (détournement de mineur, seigneur). On est déjà sortis ensemble en fait, mais je l'ai lâché parce qu'on avait des soucis de communication et qu'on avait la flemme de faire des efforts, sauf que depuis que l'on était plus ensemble, on se parlait genre trop bien. Oui c'est un peu bête comme histoire. Du coup, on s'est remis ensemble, et ça roule genre vraiment bien. C'est un peu pour oublier Lucas je crois, mais en même temps je l'apprécie vraiment qu'on soit d'accord, seulement voilà, je ne tomberais pas amoureuse et lui non plus, et c'est pas plus mal. Je me suis rendue compte de quelque chose par rapport à moi. J'ai un problème, j'ai peur d'être abandonnée. Voilà c'est dit. A chaque fois que quelqu'un commence à vraiment m'abandonner, j'abandonne la première parce que ça me fou les jetons. Et je me rends compte maintenant que c'est aussi la raison de la plupart de mes ruptures. Je sais d'où ça vient, je sais d'où vient cette hantise merdique. Merci papa. 

samedi 15 décembre 2012

C'est notre fierté, sans aucun doute, qui nous contraint à garder le silence. Mais j'en peux plus moi, j'explose et j'suis en train de me détruire chaque jour un peu plus. Tout le monde pense que c'est une blague quand je dis que je suis plus personne si t'es pas là. C'est pas une blague, je suis plus personne à ce moment précis, je suis désorientée, instable, blessée et j'arrive à peine à faire semblant de respirer. Sans rire, j'ai pris ma décision. J'arrête d'être fière, j'arrête de me faire du mal autant que je t'en fais, autant que tu m'en fais et autant que cette situation nous en fait. Ça suffit. Je peux pas vivre sans toi. Je peux pas d'accord ? Je te pardonne. Tu entends ? Je te pardonne parce que t'es la personne la plus importante pour moi. Je me dis après coup que tu m'as fait exactement ce que je t'ai fais (un peu plus maladroitement effectivement, et avec un peu trop d'assurance cela dit), mais tu m'as pardonné, alors sache que je te pardonne. Lucas j'ai besoin de toi, j'ai vraiment besoin de toi et je sais aussi que tu as besoin de moi. Qu'importe les blessures que l'on s'infligent, c'est chacun son tour et ça l'a toujours été. Je réagis toujours de la même façon tu le sais, et c'est encore pire quand je suis blessée à une telle profondeur. Je sens défiler les minutes sans toi, et je sais que ça restera éternellement du temps gaspillé. On a pas toute la vie pour être ensemble toi et moi. On est en train de tout gâcher car on a cru qu'on était prêts alors qu'on ne l'est pas. J'veux pas avoir à grandir sans toi, car on est censés avancer ensemble. Rien ne dure jamais n'est ce pas ? 
Alors je t'en prie Lucas, sers moi dans tes bras.

lundi 10 décembre 2012

C'est fou, quand je relis mon dernier article je me dis que déjà quelque chose s'écroulait autour de moi, mais à ce moment là, tout était encore en suspend. Maintenant je suis comme une habitude, c'est ma définition, je me lève et je vais en cours, et je reviens pour aller me coucher. Tous les jours se ressemblent un peu, je n'attends plus rien. J'ai du mal à retenir mes larmes quand je suis seule parce qu'il a détruit toutes les bases qu'il avait construit pour que j'y prenne appui. J'ai perdu. C'est fini.

dimanche 25 novembre 2012

Londres c'était vraiment super cool, j'ai mangé un vrai de chez vrai Fish'n'chips, j'ai suivi une classe de primaire dans un musée, j'me suis marrée au deuxième étage d'un bus, j'ai chanté dans la rue et chahuté aux endroits où le silence était préférable ! La rentrée c'était pénible, masse de cours à rattraper, quelques embrouilles à régler, tout ça, tout ça ! Je pleure encore de faiblesse et j'continue à ramer pour trouver une orientation à peu près correcte pour après le bac. Que dire d'autre ? Pas grand chose, j'essaie de ne plus être atteinte par certaines choses qui me font trop de mal. Ma maman commence à avoir des problèmes de santé, mon amie d'enfance a un soucis elle aussi, ma marraine ne va mieux que pour quelques temps et mon père est toujours autant... autant ce qu'il a toujours été. Absent.

mardi 6 novembre 2012

Depuis le début des vacances, c'était genre l'émeute de gens chez moi pour les 18 ans de mon frère, tout le monde a pleuré et tout, c'était sympatoche ! En plus on a ressorti toutes les photos de famille, et j'me suis rendue compte à quel point on avait terriblement changés tous, et à quelle point on était une grande famille brisée toute abîmée. Ca m'a fait tellement mal au coeur de voir les grands sourires des photos d'avant. L'insouciance des débuts d'une nouvelle famille, avant que tout foire par la faute des sentiments et de l'amour. Bref, je hais ces gens qui nous ont fait du mal. J'ai eu le temps de m'engueuler avec ma meilleure amie car il y avait encore eu disparition d'objet chez moi et que je l'avais pas invitée depuis un an et demi, depuis la fois où je m'étais rendu compte qu'il me manquait deux vernis en fait. Donc bref. Plus ça va, plus je me rends compte que mon pote prend la place qu'avait été autrefois celle de mon ancien meilleur ami, vous savez, le gars de l'an dernier pour qui j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Disons que c'est loin d'être la même relation, mais qu'on dépend l'un de l'autre dorénavant, et je me rends compte, faute de ne pas vouloir dépendre de quelqu'un, qu'en fait, ça me soulage d'un gros poids. Je vais bien je crois, j'me mange toujours les doigts jusqu'à ce que ça saigne, j'ai toujours des périodes de haute irritabilité et de grande susceptibilité, mais je crois que ça va. Je m'en vais à Londres dans une heure, avec mon ami d'enfance, ça, ça va être bien. Mais c'est pas les vacances hein, j'emporte Descartes avec moi tout de même ! Et il me semble que mon frère a prévu de nous emmener voir le dernier film avec Emma Watson et Nina Dobrev, deux actrices que je vénère et des personnages qui semblent trop bien ! Je vous en dirais des nouvelles. J'vous laisse, mon taxi va pas tarder à partir ! ;)

dimanche 28 octobre 2012


Les vacances, enfin. Londres bientôt, mais avant, j'ai deux livres à lire, dont un de philosophie - enchantée monsieur Descartes -, sans compter la tonne et demie de devoirs qu'ils nous ont laissé. Une semaine pour tout faire, avec les 18 ans de mon frère et le retour de mon anglais de frère et ma bretonne de soeur, et les visites furtives chez mes copines littéraires, et une ou deux petites soirées et évidemment, les jours où j'aurais pas intérêt de louper le bus qui m'emmènera directement vers une promesse de sourire. J'ai autre chose qui me tracasse, et qui je dois dire, rend complètement hystérique ma mère, c'est l'orientation. Les premiers voeux sont formulés dans deux mois à tout cassé, et c'est trop dur de me demander de définir mes attentes et ce que je voudrais faire pour le reste de ma vie. J'ai tout le temps eu des idées très arrêtées. Je suis passée par des domaines très différents, et maintenant qu'on me met la pression, je sais plus. Ca m'agace de me sentir comme ça. Je sais pas si je veux aller à la fac, je sais pas si je serais motivée, je sais pas si je veux aller en IUT - DUT, enfin ces établissements où là au moins je serais obligée de me rendre aux cours, je sais pas si je veux faire autre chose. Ma mère dit que les métiers artistiques ne sont que des rêves, alors je lui dis que je préfère arrêter mes études, et elle me dit que je suis complètement à l'ouest. J'ai fais le tour de pas mal de possibilités en fait, j'ai même songé à partir 6 mois à l'étranger, mais ça, elle est encore moins d'accord. En fait, je suis perdue. Ca m'embrouille les pensées.

mardi 2 octobre 2012

Ok, je me pose, deux secondes, je respire un peu là, j'ai encore un début de roman à lire pour un contrôle de littérature demain. J'arrête pas de travailler, d'être bousculée, et de suffoquer en ce moment. Les premiers cours ont été dur, évidemment c'était la reprise. La masse de devoirs n'a pas été une blague, ils y sont vraiment allés fort dès le début. J'ai pu rayé deux ou trois "potes" de ma vie, et cela pour de bon. Je me suis mis sérieusement au yoga, ça me fait me sentir mieux. J'ai repris la danse, les cours étant basés beaucoup plus sur un aspect contemporain me plaisent d'avantage. Demain je reprends le théâtre, j'ai hâte, ça me manque, terriblement. Je remets toute mon orientation en question, je suis pommée, n'est-ce pas normal vu cette pression naissante de post-bac ? J'ai arrêté la cigarette depuis un mois et quelques jours, et je m'en porte bien, puisque de toute façon, ça ne faisait que deux ans que je fumais. J'ai eu énormément de déceptions, de moments de solitude, de moments cool aussi depuis cette rentrée, et je ne regrette rien. Je me dis juste que j'ai hâte de trouver ma voie, ce pourquoi je dois me battre vous voyez. J'ai hâte d'avoir le bac et de m'envoler vers quelque chose qui me convient un peu plus. Mais tout d'abord, je vous laisse,  j'ai un livre à commencer et un tableau synoptique commençant par le Big-Bang à terminer.

samedi 8 septembre 2012

Les premiers jours de cours et d'autres choses.

Ces quatre jours, c'était n'importe quoi, parce que je m'en suis pris plein la tête par ma mère, et par ma meilleure amie qui fait une grosse crise de dépression et pour qui je suis toujours présente - mais oh cocotte, j'ai une vie à gérer un peu moi aussi -, et puis les cours, ça passe assez bien à vrai dire. Le premier cours de philo était super flippant, le prof a dit qu'on était encore au stade thérapeutique de la philosophie, il a même employé le terme : foetus intellectuel, qui m'a fait beaucoup rire. Bref, il nous a dit que certains allaient devenir dépressifs, d'autres allaient avoir des apparitions de boutons, et les plus intelligents commenceront à comprendre quelque chose au bout de quelques semaines, voir quelques mois. Et en pluuus, ce prof est un pervers, donc il fait peur, mais ça n'empêche pas que ses cours sont pas trop mal (pour l'instant !). Oh et puis, je me suis réinscrite à la danse évidemment, deux cours par semaine, et changement de professeur, donc je vous en dirai plus ! Autrement et bien, le patron de ma mère arrive dans une heure et demie, et j'comprends pas pourquoi il vient  manger chez moi, et je suis fatiguée, et on va encore passer quatre plombes à table, surtout que j'ai des devoirs, Moi. Et au fait, je suis au taquet, malgré tout, et je n'ai pas fumé de cigarettes depuis que j'ai dis que j'arrêtais, donc depuis dimanche soir, et dieu que c'est dur quand tout le monde te souffle dans la gueule, ou que tous tes potes fument, à toutes les pauses, ou encore, quand tu es à une soirée posée, où tu es la seule à pas fumer (avec ton frère, évideeemment, le frère qui fume pas). Ah et avant d'aller me doucher, j'aimerais vous demander, comment vous faites quand vous retrouvez une personne que vous n'aviez pas vu énormément durant les vacances d'été, et que tout baigne, et que en parallèle, vous apprenez le comportement négatif de cette personne dans certaines situations qui ne vous auraient même pas effleuré l'esprit, et que vous êtes vraiment sensible à ce que cette personne est en fait capable de faire ? J'ai été incohérente je suppose, mais bon, je suis en train de fermer les yeux sur des choses qui certes ne me concernent pas, mais qui concerne cette personne qui est un ami, un ami normalement très proche, qui fait n'importe quoi, et que ça vous atteint, je ne sais trop comment d'ailleurs.

samedi 1 septembre 2012

Récapitulatif d'avant-rentrée.

Bon bon bon, vous êtes toutes parées ? (oui je parle toujours qu'aux filles, car il n'y a que des filles qui look mon blog). Parce que moi je suis presque parée, en mode couchée tôt pour reprendre le rythme et le sommeil en retard, moins de pc, plus de livres, nouveaux vêtements (ah oui, j'ai un jean "Pepe jeans", non mais c'est juste trop cool, parce que c'est de la récup', parce que j'ai que de ça, mais là, j'étais trop contente tu vois ?) Bon bref. Nouveau sac, nouvelles affaires, cheveux encore plus beaux qu'avant. Il me manque juste... Les chaussures, oui parce que ça faisait trois ans que j'avais les mêmes et qu'elles sont déchiquetées. Et ma mère veut m'emmener en trouver à Carrefour Market. Hein hein, je vous redirais si j'ai trouvé autre chose que des chaussures jetables. Encore un truc, j'ai tchéqué avec une copine quand j'étais bourrée, et le pari c'est qu'on doit arrêter de fumer dès la rentrée. J'étais bourrée quoi.. Mais j'ai tapé dans sa main, alors voilà. Peace ! #
& la photo de Nina, parce que ben, parce que c'est Nina quoi, tout le monde la keaf évidemment.

lundi 27 août 2012

Et sinon, la rentrée, ready or not ready du tout ?

Ca riiiime à rien, j'vais l'oublier hein, mais quand il va me revoir et que j'aurais un sourire qui tue, ben il sera trop dégoûté, pis en attendant, j'men tamponne le coquillard avec un tibia de langouste de l'amour. C'est de la shit, scheisse, bouse. & sinon, non, pas ready du tout pour la rentrée, j'ai encore deux semaines de dodo à rattraper. C'est terrible, j'vous assure. C'est ça l'effet "pas les parents à la maison pendant 7 jours", et surtout, suuuurtout quand c'est la première fois que ça arrive, et qu'il y a le grand frère de 10 mois et demi de plus que moi à la maison... Ouuuïïlle...

vendredi 24 août 2012

Comment te dire.. Je ne veux pas te mentir, tu m'attires et c'est là que se trouve le vrai fond du problème.

Je dis que je m'en fou, mais c'est pas vrai. Je dis aussi que je me fou du fait d'avoir autant d'autres garçons à ma portée, mais c'est pas vrai non plus, je m'en fiche pas, je te veux juste toi. Parce que t'es mon opposé et que c'est bien plus marrant, parce que je sais que tu as des problèmes et que je veux t'aider, parce que je sais que tu es perdu parce que je te plais mais que je suis pas le genre de filles avec qui tu es déjà sorti. J'ai pas envie de me venger sur un autre pour oublier l'ignorance dont tu fais preuve à mon égard. Je sais très bien qu'un autre garçon pourrait me rendre plus heureuse que toi tu ne pourras jamais, mais je n'arrive pas à accepter l'idée que tu me rejettes maintenant, elle reste coincée entre deux sanglots cette idée là. Il m'a fallu si peu de temps pour que je m'accroche à toi, quelques heures, mais je savais plus ce que ça faisait, j'avais oublié ces ressentis. Tu peux me sauver la vie, et je peux aussi te sauver de tout ce qui t'enferme à ce point. Mais si tu ne m'ouvres pas ton coeur, comment je suis censée faire ? Ce n'est pas quelque chose que je peux faire, contrôler tes sentiments. Je ne le ferais jamais de toute façon, je peux juste faire en sorte de te plaire, faire en sorte d'être une personne que tu pourrais aimer sans toutefois changer ma façon d'être. C'est ça qui est difficile. Quand je me lève, j'espère un sms, quand je m'habille, j'espère que ça te plaira, quand je sors, j'espère te voir arriver avec ton bolide qui te sert de scooter, parce que tu connais le chemin. Quand je pense, je pense à toi, quand tu réponds pas à mes misérables signes, j'espère que tu n'es pas avec une autre fille plus jolie et plus intéressante que moi. Quand tu es appelé pour travailler la nuit avec des voitures dans tous les sens, j'ai la trouille. Quand je ne fais rien, j'espère un appel, quand je m'endors, je pense à l'autre nuit, quand tu dormais comme un enfant à mes côtés. Quand je regarde une photo de toi, j'ai des perles qui s'échappent de mes petits yeux fatigués. Donne moi un signe, dit quelque chose, impressionne moi comme tu sais le faire. Me laisse pas comme ça, à me demander si j'devrais pas aller hiberner dans un endroit isolé. Je suis en train de tomber amoureuse de toi, chose que je ne voulais pas, et qui me fait sans doute plus peur qu'à toi.

jeudi 23 août 2012

Bientôt la rentrée, bientôt la reprise de la danse, bientôt fini les soirées. Dernière année de lycée, et après shhhhh, bye bye. Mes parents partent une semaine, je pense que ça va être super coolos, mon frangin et moi avons déjà prévus masse de trucs. Je publie plus sur mon blog, en fait, non pas que je n'y pense pas, mais j'ai plus d'inspiration, je suis trop occupée par la vie réelle ces temps-ci. Tout ça pour dire, j'suis vivante, j'vais super bien, ou presque. Ah oui parce que. J'vous ai pas dit. J'suis en train de m'accrocher à un garçon, qui a lancé le truc en premier et qui ne sait plus ce qu'il veut maintenant. Lol les mecs. Bande de blaireaux. Et vous sinon ? Tout baigne au pays des blogueuses avérées ?


dimanche 29 juillet 2012

mercredi 18 juillet 2012

Salut les fourmis de blogger ! Comment ça va pour vous ? Toutes en vacances ? Je ne sais même pas si beaucoup d'entre vous lisent encore mes piètres articles mais tant pis. Ma vie est merdique, mais qu'à moitié. Mon copain est super, mes amis encore plus, et donc tout baigne de ce côté. En revanche, PUTAIN. Qu'est-ce qu'ils me font chier ces parents ! J'arrête pas de me prendre la tête avec eux. Mais tout le temps, j'ose même plus sortir de ma chambre. Enfin ma chambre, mon hamas de bordel plutôt. J'ai rien trouvé pour gagner un peu d'argent cet été, je pourrais pas aller voir mon frère à Londres. J'ai été en fuite tout le matin sur mon vélo pour retarder l'heure de rentrer. J'en ai mal au cul. Non mais en vrai je veux dire. Et pis bref, je sais pas, ça me pompe tout ça. J'en ai marre de tout devoir justifier, de pas être la fille parfaite basée sur le modèle de ma merveilleuse grande soeur. Passons. Il m'est arrivé un truc de fou hier soir, j'étais en quête d'un livre que je voulais commencer pour vaincre mon amie l'insomnie, et pouf. Di-spa-ru ! Mais vraiment, je pigeais rien, je l'avais rangé sur mon étagère deux jours plus tôt, et ce matin, devinez qui me sourit d'un air narquois. LE LIVRE ! Non mais j'ai cru que j'étais folle. En passant je me suis remis à mes ouvrages, je réécris, je tapote sur mon pc, je griffonne des pages de papier et j'ai dépoussiéré ma machine à écrire.

mercredi 4 juillet 2012

J'étais tellement désorientée par cette déclaration, et par cet autre gars qu'un court instant j'en ai choisi un autre, pendant toute une soirée, je me suis dit que personne ne m'avait rien dit, et j'ai regardé ailleurs, pour finalement me rendre compte que c'était pas ailleurs que ça se passait. C'était pas le mec parfait que je cherchais, c'était juste celui qui comprenait et qui me voyait comme j'étais. Oui mais ça fait peur. Et tout ça n'est qu'un état d'âme, je suis idiote, mais je m'en fiche, j'ai son pull en otage, et je l'emmène en Bretagne pour cinq jours. 


Uhm... Vous les reconnaissez ?

dimanche 1 juillet 2012

Alerte.

Tout se brouille dans ma tête, adieu le garçon au sourire freedent, j'ai les neurones qui divaguent, le clone du mec aux céréales m'aime, ça fait très longtemps, je n'avais pas compris, je me suis sentie stupide et maladroite dans cette ambiance festivalement cool, je ne comprenais pas que tout le monde l'ai remarqué et moi pas. Et pourtant voilà, et trop de passages qui défilent dans ma tête et qui maintenant paraissent évident. C'est juste qu'on est comme des enfants à qui les lois ne peuvent pas être dictées sous peine d'être enfreintes. Il a ce truc qui fait de lui un artiste, ce petit quelque chose qui nous rapproche, et finalement, oui, finalement, je crois que plus rien ne compte à présent. Il faut juste que j'aille préparer des lasagnes, et après ça, ce sera le commencement d'une histoire d'amour sans alerte à la bombe.

lundi 25 juin 2012

J'ai emprunté ce questionnaire sur le blog de Manon, il est plutôt cool, faîtes-le vous aussi !


1/ Plutôt corne ou marque-page ?
Marque-pages, totalement, j'en ai des tonnes. Quand je m'ennuie en cours, je m'en fais de nouveau même, et toutes mes potes écrivent dessus, mais quand j'en ai pas à portée de main, j'utilise en peu tout, genre des mots, des tickets, des prospectus... Ca me fait trop mal de corner des pages innocentes que voulez-vous.

2/ As-tu déjà reçu un livre en cadeau ?
Oui, tout pleins, pour tout vous dire, il y en a encore que je n'ai pas lu ! En plus j'en récupère vraiment de partout, et les gens les offrent facilement, alors c'est tout bénef !

3/ Lis-tu dans ton bain ?
Uhm... La blague, ça fait quoi ? 3 ans que j'ai pas pu prendre de bain ? Oui notre baignoire est pas fixée. Sinon j'pense que ça pourrait être cool. Tant que mon bouquin fait pas de concours de plongeon.

4/ As-tu déjà pensé à écrire un livre ?
Oh que oui, j'écris souvent en fait, j'ai même écris une nouvelle pour un concours l'an dernier. Je me suis toujours dit que j'écrirais plus tard, des livres ou des chroniques. J'ai un tas de carnets, cahiers et autres supports papiers remplis d'encre, j'ai un grand tiroir réservé à mes ébauches de texte.

5/ Que penses-tu des séries à plusieurs tomes ?
Je trouve ça cool, mais autant faut-il qu'on ai le temps de tout lire !

6/ As-tu un livre culte ?
Je dirais sans trop hésiter L'échappée belle d'Anna Gavalda, ce livre m'a fait respirer je vous assure. En fait c'est juste parce qu'au départ, on est quatre nous aussi, comme dans le livre, et que c'est tellement facile de nous identifier à eux, ça donne presque envie de rêver. Alors que franchement, c'est banal comme livre. Mais c'est la magie d'Anna évidemment.

7/ Aimes-tu relire ?
Ça m'est arrivé mais en général je relis juste mes passages préférés.

8/ Rencontrer ou ne pas rencontrer les auteurs de livres qu'on a aimés ?
J'aurais trop aimé rencontrer Roald Dahl ! Mais quand il est mort, j'étais même pas née, la loose. A part ça j'aimerais énormément rencontrer Anna Gavalda, je l'admire complètement.

9/ Aimes-tu parler de tes lectures ?
Oui, on est une ribambelle de filles dans la classe alors les salons littéraires en cours d'ECJS ça y va !

10/ Comment choisis-tu tes livres ?
Je n'en sais rien, je les choisis voilà tout, qu'ils soient déchiquetés ou neuf, que la couverture soit jolie et l'autre moins, qu'ils aient une meilleure odeur ou pas (oui je sens tout le temps l'odeur des pages, mais je vais bien), que l'écriture soit petite ou grosse, peu importe. Je choisis même ceux qui n'ont pas de quatrième de couverture, mais qui ont quand même de l'allure vous voyez ?


11/ Une lecture inavouable ?
Franchement, non.

12/ Des endroits préférés pour lire ?
Dans le fauteuil africain de mon beau-père, dans un hamac, au bord d'une fenêtre, sur un pouf, dans un train, dans un jardin, sous un arbre géant... et j'en passe !

13/ Un livre idéal pour toi serait :
Un livre avec une reliure inimaginable et un contenu époustouflant !

14/ Lire par dessus l'épaule ?
Ah non ça me saoule toujours ça, j'ai l'impression de manquer un truc après.

15/ Télé, jeux vidéos ou livre ?
Livres, et internet aussi, ma télé est toujours pas rebranchée depuis un an, et ça ne me manque pas. Les jeux vidéos c'est par période alors je n'en sais rien.

16/ Lire et manger ?
Oui ça je le fais, mais le mieux c'est un chocolat chaud l'hiver, avec un livre et devant la cheminée en prime. La totale.

17/ Lecture en silence ou en musique ?
En silence, la musique me dérange souvent, mais pas tout le temps, je crois que ça dépend des circonstances aussi.

18/ Lire un livre électronique ?
Très peu pour moi, je suis complètement en guerre contre ces machins là, je trouve ça stupide de virtualiser des pages de papier, en plus ça nique les yeux si on lit beaucoup, voilà.

19/ Le livre vous tombe des mains : aller jusqu'au bout ou pas ?
Ça dépend du livre en question, mais il me tombe toujours des mains quand c'est un moment super important ou alors quand c'est vraiment nul et que je m'endors.

20/ Sur une île déserte, vous pouvez choisir trois livres, pas un de plus. Lesquels seraient-ce ?
Petite joueuse de Céline Straniero
L'échappée belle d'Anna Gavalda
La fille de papier de Guillaume Musso

dimanche 24 juin 2012

Je sais pas trop ce que je suis venue écrire, tout est redevenu normal, il a dormi avec elle, et elle a dormi avec lui et point final. C'était une très bonne soirée. J'ai rencontré quelqu'un d'ailleurs, un garçon évidemment.   Regard océan, sourire Freedent et tout le bazar. Et en plus il me trouve jolie a t-il confié à un ami qui s'est empressé de venir me le dire. Evidemment je n'ai pas osé le : Tu dors avec qui dans la tente ? Tu dors avec moi ? * papillonnement des cils * - Non quand même. Enfin bref on verra bien, mais ce qu'il y a de sur c'est que j'ai merdé mon bac de Sciences et que j'ai pas franchement envie de réviser l'oral de français, je crois que je vais vraiment y aller au talent. Et vous quoi de nouveau ? Ça sent l'été vous trouvez pas ?

lundi 11 juin 2012

J'ai pas beaucoup le temps de poster en ce moment, je fais milles et une choses ! A commencer par ma précédente semaine hyper chargée de répétitions de gala, puis galas et festoch et marché de la mode vintage à Lyon, puis ultimes évaluations avant l'arrêt des notes, puis encore de la danse, puis des révisions, puis des nuits d'insomnies et un week-end chargé avec parties de foot, ballades, et nuit glaciale... en tente. J'arrête pas. Demain c'est le dernier jour de cours, et le "conseil" de classe le soir et après j'ai bac de français le 20, de Sciences le 22, et l'oral le 29, et seulement après je suis tranquille. Ça roule plutôt bien avec la meilleure amie à qui je n'avais pas parlé depuis quoi... 3 mois ? Quant au meilleur ami, ex, petit ami secret ou toutes ses autres fonctions, il me gonfle, voilà. Ça sert à rien de se démener pour une personne qui s'en branle complet de tout et qui pige plus rien. Voilà voilà, je suis pas morte, juste fatiguée et j'avais un peu oublié l'existence de ce blog pour tout vous dire (honteux !). J'ai eu le temps de guérir mes blessures de bleuet désespérément in love d'un poor boy pendant tout ce temps. Parce que j'ai plus le temps de penser à ça, tout simplement. Par contre, maintenant que j'y pense, je dois vraiment aller m'acheter un cactus. Et rembourser ma dette auprès de Mariotte. Et pleurer pour le départ du gars aux céréales et de son clone, -et de leur colonie-. (cf mes tous premiers longs articles pour plus de détails sur ces deux là).

lundi 28 mai 2012

Super week-end, superbe gigantesque famille, beau petit coin de paradis, décontraction avant semaine méga chargée, gala de danse avec répétitions tous les soirs, dissertation et contrôles, dernière ligne droite, dans une dizaine de jours ce sera congé révisions, et samedi festival maybe ? & Dimanche, marché de la mode vintage à Lyon, of couuuuuurse.  
& un appel de toi aussi, innatendu.

lundi 7 mai 2012

Are u gonna be my girl ?

"Personne ne comprend, personne. Trop de personnes importantes tentent de se mettre entre nous, et on se regarde, et on pleure parce que notre amour semble impossible. La gente masculine nous emprisonne, nous étouffe même, et notre âme ne songe même plus à fuir pour vivre de nouveau. La jalousie est partout autour de nous, mais ce qui ne nous perdra jamais, c’est la confiance que l’on éprouve l’une pour l’autre. Quelque part, on brave les interdits, notre cœur bat plus fort, c’est intense, mais on est préparées à ça. Les moments innatendus s’accumulent… On s’en fou, de tout. On se bat ensemble, on fait des heures de voyage pour se sourire, et on est deux. Deux contres les regards, deux contre les lois. On les emmerde. Tous, les hypocrites et les merdeux. On fuit la routine, on respire, et on s’aime. C’est tout ce qui compte. Toi, ton sourire et tout ce que tu as pu dire, tous les gestes que tu as pu faire, tous tes regards, et toutes tes habitudes, ta spontanéité, ton assurance et tes soupirs d'exaspération. Parce que c'est à toi que j'écris le soir, à la lueur de ma petite lampe torche, rose, comme les filles, comme nous. Parce que c'est toi que j'aime. Parce que c'est toi qui me rend heureuse quand tout le monde me rend malheureuse."

samedi 5 mai 2012

Dans deux jours c'est la rentrée, comme d'habitude, je ne suis absolument pas au point pour mes devoirs et je les ferais demain. Hier j'ai revu toute ma petite bande de potes, et je me suis demandé ce qui me poussait à rester avec eux, parce que vu les tensions qu'il y a et ce qu'on a à se raconter... C'est pas fantasmagorique ; peut-être seulement que j'ai toujours été avec eux depuis maintenant 4 ans, et que j'arrive pas à complètement me détacher. En plus y'en a qui boude quand je suis pas assez présente, et d'autres qui sont contents. Certains s'aiment, certains se haïssent, et tout ça, dans le même groupe depuis longtemps, autrement dit, paye l'ambiance. Je sais plus quoi faire. J'ai l'impression que j'ai plus rien pour me soutenir. J'ai l'impression que certaines choses n'en valent plus la peine comme autrefois. Certaines personnes me déçoivent, parce que je pensais les connaître. Pourquoi les gens ressentent-ils le besoin d'avoir deux facettes complètement différentes ? Pourquoi les gens s'influencent à ce point ? Parce que c'est vrai, tenter d'être quelqu'un d'autre, ça gâche toute la personne que l'on est. On a une vie pour apprendre à se connaître soi-même, à se forger ses propres opinions, sauf que tout le monde tout le temps essaie de changer la personne que tu crois être devenue. Et ça, ça ne se fait pas.
Merde quoi, on est humains, autant le rester pour de vrai.

dimanche 29 avril 2012

Oulala les amis, je me sens perdue sur Blogger là, tout a changé ! Ils auraient pu demander la permission oh ! (d'ailleurs merci pour ton commentaire Lisa, je n'arrive pas à te répondre sur ton blog, c'est normal ?) Je suis de retour après une semaine mouvementée en Savoie. Soyez pas deg... Mais j'ai skié 4 heures pendant 3 jours ! Bon ok, j'ai pleins de bleus sur les jambes, et il y a pas mal de photos dossier de toutes mes grosses blettes. J'ai mangé la neige. J'ai perdu mon bracelet en ruban après une aprèm dans la superbe piscine de Val d'Isère (ouais la ville de riche là), et même on a chopé deux numéros de mecs, mais bon, j'préfère le plus canon vous voyez. En passant, il s'appelle Archimède, et son cousin Hercule (ou alors ils se foutent de nous), ils sont grecs paraît-il ! J'aurais trop de choses à raconter, donc en résumant, on s'est marrées, on s'est baignées, on s'est photographiées (photoshoot sous toutes les coutures !), on a cuisiné (j'vous assure, ça m'arrive que quand je suis pas chez moi), on a révisé (bac blanc oblige !), on a dragué (uhmuhm.. & on s'est fait draguer, et les snowboarders hein que c'est sexy ?), ça a neigé, ça a plouillé, et ça a soleillé ! C'était marrant, fatiguant, courbaturant, énervant mais fun ! Et le mieux, c'est qu'il me reste encore une semaine de vacances. Et attention, y'en a qui vont être fières de moi là, j'ai pas répondu à ses textos du tout, même à celui qui disait "Tu m'abandonnes sûrement, mais moi jamais j'abandonnerais." (déchirant cela dit..) BREF. J'ai loupé quoi ?

lundi 23 avril 2012

Pas de post pendant un bon moment, je pars effectivement en Savoie avec une délurée !

(en passant, mon plan est en marche, il m'a envoyé trois textos auxquels j'ai pas répondu, et il vient me dire sur Facebook que "tu me manques, j'comprends pas pourquoi tu réponds pas, notre promesse tient toujours ? Tu viens me voir Jeudi ?" Uhm... Je te manque ? Fun ! Attends de voir comme je vais encore plus te manquer !)

dimanche 22 avril 2012

"J'irais danser, seuuuule ou accompagnééée."

Hier c'était les 18 ans de ma demie-soeur donc. C'était super cool, on a passé une bonne journée, l'effet surprise a été réussi. Ma tante m'a offert un paquet de cigarettes, le beau gars au T-shirt de politique et à la veste de costard m'a fait rire, lui et ses roulées dans sa boîte à cigarettes qu'un ami gay lui a donné, mais bon fin de l'histoire. C'était la première fois que j'allais en boîte hier soir, à la clé des champs, pas mal pour une première hein, on est arrivés à minuit, et repartis à 4h30 du matin. A 8h tout le monde était de nouveau levés pour prendre le dernier méga p'tit dej avant que bretons, parisiens et british s'en aillent. Mon frère va encore me manquer. On a eu une conversation qui m'a fait peur, il m'a parlé d'un lourd secret qu'il me dirait un jour, il m'a dit qu'il n'avait jamais été heureux, que la vie se résumait à pas grand chose, que les gens s'accrochaient à toutes sortes de croyances. Il s'habille comme un anglais classe, il est beau mon grand-frère. Quand je lui ai dis que je savais plus qui j'étais parfois, il m'a dit que j'avais tout de même énormément de repères, je savais qui était ma famille, et tout ça. Mais il me fait peur à présent, j'ai la trouille qu'il me dise qu'il a été adopté ou un truc horrible du genre. En y pensant c'est celui qui ressemble le moins à papa et maman... Je psychote.
Je vais me mettre en silence radio pour les vacances, je ne répondrais pas à ces nombreux messages, tant pis. Je vais l'oublier. Je sais toujours pas si je pars en Savoie, il est 13h, j'ai encore mes skis à retrouver, et mes bagages à faire pour partir tôt demain matin (si je pars), mais je sais pas quand est-ce que je trouverais le temps de dormir avec tout ça. Vous connaissez Misfits ? C'est pas mal du tout, regardez si vous avez du temps à perdre, c'est accrochant !

vendredi 20 avril 2012

Vacances : opération révisions, et vidage de cerveau, et de sentiments aussi.

Un 7/20 en bac blanc d'histoire, et un 9/20 en bac blanc de français (serait-ce donc ma première bâche en français ? Awesome, y'a une première à tout) C'est enfin les vacances, demain c'est l'anniversaire de ma demie-soeur (enfin oui), ses 18 ans, autant dire, toute la famille débarque et le soir logiquement, on fait une sortie entre jeunes en boîte de nuit (encore une première pour moi), en laissant les vieux à la maison, comme il se doit. J'espère que mes parents m'accorderont les vacances en Savoie avec ma meilleure amie (oui ça va mieux avec elle), parce que ça fait bien 5 ans qu'on en parle, ce serait cool, neige, chocolat chaud, révisions, musiques, fondus, laines de mamie et cigarettes. Oh et puis il faut que je me vide l'esprit, que je me casse un peu vous voyez, en plus mon père m'a lâché, ce n'était encore une fois que des foutaises, je ne reverrais peut-être pas le garçon de cet été. Merci papa, tu m'as toujours fait de faux-espoirs et tu changes pas. Quant à lui, vous savez... Ben. J'essaie, vraiment, je souris à tout, parfois ça va et puis parfois je replonge, donc ça va pas trop super bien. Mais ça va passer, hein, faut que ça passe... Vous avez prévu quoi pendant ces vacances bande de blogueuses assidues ? ;-)

dimanche 15 avril 2012

J'ai besoin d'écrire, même si je ne sais pas encore ce que je vais bien pouvoir vous raconter. Pour ceux qui m'ont souhaité du courage, sachez que je vais bien, par période, que je commence à me faire une raison, que s'il doit revenir, il reviendra, et que sinon, j'essayerais de ne pas finir vieille fille. C'est bientôt les vacances, le soleil repointera bientôt son nez. Pleins de bonnes soirées en perspective, mais avant, il y a le bac blanc d'histoire, demain matin. Et ma grande soeur qui revient à la maison après 4 mois d'absence. Les 18 ans de ma presque demie-soeur chérie, et une visite prévue dans la ferme familiale, histoire de voir si le paternel a pas clapsé, vu que je n'ai plus de nouvelles. La dernière fois que je lui ai parlé, je l'ai prié de m'emmener en Espagne fin Juillet pour revoir Arthur, le garçon de l'été dernier. Il m'a dit qu'on irait, mais je préfère me dire que je n'irais pas, car mon père est connu pour tout lâcher au dernier moment pour un truc qui lui tient plus à coeur que le bonheur d'autrui. Quand j'ai reçu mon bulletin du second trimestre, j'ai cru que j'allais pleurer, il n'y avait pas une seule remarque positive. Mes résultats sont en chute libre. Je suis passée de 13,5 de moyenne à 10. Je sais pas si je peux rattraper tout ça à temps pour passer en terminale... Mais je vais essayer. J'ai failli me faire enlever récemment. J'ai eu peur, j'ai sangloté dans les bras de mon amie, et ma mère m'a muni d'une bombe anti-agression - oui je sais, c'est interdit, mais c'est un secret, d'acc ? - après être allée faire ma déposition à la gendarmerie - agent M., vous êtes charmant - et prévenu le lycée qu'un pervers rodait aux alentours. Parce que je ne suis pas la première, mais j'espère être la dernière. Je fume un peu trop, et je n'ai même plus envie d'arrêter pour l'instant. Je suis allée à une brocante - association du 3ème âge -, et j'ai dépensé 11 euros pour un sac en cuir, deux pulls, une écharpe, et un T-shirt. AHA ! Je suis trop fière de moi. J'ai deux livres à lire pour les cours "Madame Bovary" de Flaubert - oui, vous connaissez -, et "Un roi sans divertissement" de Giono, quelqu'un a lu celui-ci ? J'ai terminé la première saison de The Vampire Diaries, et moi qui pensait que ça allait cucu-la-praline, l'histoire est pas trop mal, même si bon ok, certains effets sont franchement ridicules, mais les acteurs jouent vraiment bien. La dernière saison des Frères Scott est sorti, et grâce au FBI, je ne peux pas la visionner - merci les gars, vous êtes géniaux -. 
Bref, j'ai un bac blanc à réviser. 

vendredi 23 mars 2012

"Il est des moments où il faut oublier les vieux espoirs et s'en créer de nouveaux."

"C'est tout ce qu'il me reste... Tu me laisses tout ce qu'on était, tout ce qu'on ne sera plus jamais." Mais tu pouvais les reprendre tes souvenirs, tes hésitations, ta foutue ignorance face au monde, ta parfaite innocence. Je n'en veux plus. Je crois juste qu'on ne peut plus brisé un coeur déjà déchiré. Alors je le raccommoderais, et sans toi.

lundi 19 mars 2012

Le truc c'est que quand je suis avec lui, je pense quand même à toi.

Te raconter... Ce serait t'avouer que je pense toujours à toi, que je pense tellement à toi que je recommence mes  rêves et mes cauchemars dans lesquels tu apparais. T'avouer que je suis en train de mourir à petit feu. J'ai même plus envie de me tuer, les marques sur mes bras se cicatrisent, je me suis dit que j'finirais par vous manquer. Moi et mes débilités, mes sourires niais et mes crises de bi-polarité. Et puis ce serait te faire trop d'honneur. Alors ça n'en vaut peut-être pas la peine. Enfin, je crèverais peut-être d'amour comme la pauvre Montbazon tu me diras. Mais tu sais quoi ? J'arrive plus à respirer sans toi, même si je dois le faire. C'est fou, parce qu'après tout ce que tu as fait, tous les faux espoirs que tu m'as si bien dessinés, et bien je t'aime toujours. T'es vraiment con. 
Mais vraiment.

vendredi 16 mars 2012

Smile like a fool, only with you. Cause you're all i want, you're all i need, you're... everything.

Tu as volé mon coeur, et tu me laisses toute seule. J'ai plus qu'à payer l'addition de nos souvenirs de bonheur. Ces quelques heures dérobées... Tu te souviens du jour où l'alarme s'est déclenchée ? Et bien elle résonnait encore dans ma petite tête de naïve, comme un appel à l'amour. Et ça, jusqu'à ce que tu me regardes droit dans les yeux, et que tu me sortes ton baratin, ton foutu baratin pendant que je te regardais, effrayée par tant de malhonnêteté. J'écoutais à peine, je pensais à tout ce que tu avais pu me dire, toutes tes belles paroles. C'était des illusions ces paroles là aussi ? Tu comprends plus, mais tu veux que je t'explique ? Pourquoi je réagis comme ça à ci ou à ça ? Parce que tu m'as brisé le coeur sombre idiot. Tu m'as complètement détruite de l'intérieur espèce d'abruti. Tu comprends pas, tu es toujours insouciant toi. Tu as des plan B toi. Moi j'avais que toi en fait tu vois. 

lundi 27 février 2012

J'ai peur, j'ai vraiment trop peur, est-ce que c'est ce que l'amour est supposé faire ? Tu me laisseras pas seule n'est ce pas ? Tu as dit que quoi qu'il se passe tu serais là. J'ai besoin de toi, encore, et pour toujours.

Je marche sur nos traces, tout le temps, tout le temps...

Mon coeur est en train de se déchirer en deux, ça saigne dans tout mon corps, et mes yeux pleurent toute la peine que j'accumule.

Quoi que je fasse, je ne peux pas posséder en même temps les deux personnes à qui je tiens le plus. Je dois faire le choix le plus dur que j'ai eu à faire jusqu'à maintenant. Je viens à peine de le retrouver, mais je viens tout juste de la perdre "Ciao bella, my sweet bella". C'était l'amitié avant tout on avait dit, on avait dit "Together forever". Je suis désolée tu sais... Si j'avais su...
Alors voilà le truc : ou je ne change rien, et je la perds, et tout ce qui va avec, et je continue ma dépendance envers lui et je ne mens pas à ma meilleure amie, je ne partage juste pas ce secret. Ou c'est lui que je perds, en partie du moins, et je retrouve tout ce que j'avais avant, je me débrouille pour justifier mes crises de larmes auprès de ma meilleure amie, quitte à mentir, parce qu'au final c'est toujours pareil, je pourrais pas lui dire. Sauf que voilà, quoi qu'il arrive je l'aime, mais je l'aime trop pour que ça ne me détruise pas, et je respecte pas ma part du truc, parce que j'avais pas le droit de devenir accro, c'était le deal, pas d'interdictions, juste du bonheur, juste ça, mais c'est déjà plus comme ça. Et il y a des traces de lui partout autour de moi, mais pas encore autant qu'il y a de traces d'elle. Je fais quoi moi ? Ou alors, au pire, je me tire une balle, comme ça ce sera réglé. Qu'importe celui ou celle des deux que je perdrais, ça me manquera. Si c'est elle, tout me manquera, si c'est lui, tout sera déchirant. Sauf qu'il est la meilleure chose qui me soit arrivé mais aussi la pire. Est-ce que c'est ça l'amour ? Pour tout vous dire, j'en sais rien. J'ai la trouille en fait. J'ai encore besoin d'elle. Mais j'ai besoin de toi. Le truc qui bloque c'est que rien ne dure jamais, et faire un mauvais choix peut entraîner trop de blessures, et ça dans les deux sens. Foutu piège, impossible à déjouer, j'ai déjà trop joué avec le feu.


Si je dois choisir, ce ne sera personne. Mais dans ce cas, dit moi qu'on se retrouvera, dit le moi, on se retrouvera un jour où on pourra s'aimer sans se cacher.

samedi 25 février 2012

C'est seulement en regardant un peu autour de soi qu'on trouve des personnes à qui on ne faisait que très peu attention auparavant, et parfois ce sont ces personnes qui deviennent ceux sur qui vous pouvez vous appuyer. Parfois vous donnez le meilleur de vous-même à quelqu'un pour qui vous n'avez plus aucune importance. Parfois vous changez, vous évoluez différemment de ceux avec qui vous avez appris tant de choses, ceux qui vous connaissait, ceux qui vous comprenait. Parfois vous pleurez car il n'y a plus ce qu'il y avait avant, cette complicité, cette vie, ce tout petit monde créé et recréé autour de quelques posters dans un cabanon abandonné, dans un parc, dans des salles de cours, dans une grange, dans tout un tas de maisons différentes, dans une piscine, sur un stade de foot... Vous me faîtes mal, tu me fais mal. Je sais plus qui je suis avec vous, je suis plus comme avant, ça me fait peur, je veux pas m'en aller, mais je crois que tout est fini n'est ce pas ? Ca me manque ce qu'on était. Je crois que je passe trop de temps à essayer de comprendre. Je crois que je ne suis plus moi même qu'avec ces petites fantaisistes. Je crois aussi, que tu n'es plus la meilleure amie que j'avais auparavant.
Je crois que tu es celle qui a chamboulé tout mon monde, et peut-être que c'est un trop grand privilège. T'as pas le droit de te venger de quelque chose que tu ne comprends même pas.

dimanche 19 février 2012

Cuz you got me shining with your love.
J'ai besoin de toi, je suis heureuse avec toi. 
Je t'aime. Non mais c'est pas une blague. 
Je le ressens vraiment tu comprends ? 
Même si je suis une impulsive maniaco-dépressive, et chiante en plus, 
et grognon parfois, et que je te gonfle. 

vendredi 17 février 2012

« La peine emporte le profit. »

Peut-être que je te vexes en effet, et je ne savais pas que je détenais ce pouvoir. Mais ce que tu as dit ce soir, tu sais même pas ce que ça m'a fait. Oui je la défendrais même si c'est contre les dires de mon propre père. Tu crois quoi bon sang ? Que je suis assez conne et immature pour le laisser dire des noms d'oiseaux à tout va. La confiance règne. Tu me diras que je te fais pas confiance, c'est presque vrai, si on oublie le fait que je sois une adolescente qui déborde de tactiques pour marcher à cloche pied aux bords des limites fixées par la hiérarchie supérieure que sont les parents. Donc ça ne compte pas. Ne me blâme pas de ne pas vous confier toutes mes peines, et mes écarts de conduite. Néanmoins, ce que tu m'as balancé dans le coeur ce soir, c'est une preuve que tu n'y comprends rien. Peut-être que tu as eu la chance d'avoir un papa présent, et ben pas moi. Je n'oublie pas tout ce qu'il a fait non, je n'oublierais jamais. Mais arrête de me torturer. Arrête, je t'en prie. Mes larmes me brûlent et mon coeur a des excès de douleur. J'aurais aimé avoir un papa moi. Ouais, un vrai, un presque comme toi. Oui, mais c'est pas le cas, et si j'ai décidé de lui redonner une chance, c'est que je suis consciente que je peux encore une fois en pâtir. Alors aide moi, mais ne me rabaisse pas, car tu ne comprends absolument rien. Tu ne connais que ce qu'elle a bien voulu te dire.

mercredi 15 février 2012

Ce n'est pas moi tout ce rien.

Je m'entraîne à redevenir celle que j'étais avant toutes ces blessures. 
Je ne veux plus peser mes mots, je ne veux plus me forger de masque qui affiche ce que je ne ressens pas. 
Ça m'aidait à me cacher, à me préserver, mais tout compte fait, la vie c'est ça : 
> c'est le bonheur indissociable du malheur, le temps qui passe, les grandes claques dans la gueule et les éclats de rire. 
Je veux arrêter de me soucier de ce que les gens pensent, ou ont pu penser. 
Je réapprends l'amitié, des amitiés toutes neuves, qui se base sur des petits riens et qui évoluent en "où que tu sois, à n'importe quel moment, je serais là", oui et le pire c'est que c'est vrai. 
Je découvre qu'une copine devient une connaissance et qu'une amie devient une inconnue. 


Et par dessus tout je continue à t'aimer. 

lundi 13 février 2012

"J'aurais aimé compter pour toi, autant que tu as toujours compté pour moi."

Je sais que tu ne peux pas retourner le passé. Je sais que je dois pas regarder en arrière car il y a eu ce moment où j'étais minutieusement occupée à me détruire pendant que vous vous aimiez jours et nuits. C'est peut-être mon silence que je regrette. Je sais que tu m'aimes. Je le vois tu sais, je le sens. J'aurais juste aimé que ce soit moi car c'est d'elle dont tu te souviendras quand tu y repenseras. Et c'est surtout ça qui est déchirant. C'est elle qui a su s'accrocher à toi dès la première fois. Moi j'avais juste tout foiré. Comme d'habitude. J'ai pas l'impression de t'avoir dérobé, mais juste de t'avoir retrouvé. Je me suis posée des tas de questions, du genre : est-ce que je ne voulais pas moi aussi connaître cette situation avec quelqu'un d'autre que toi, parce que c'est pas du jeu ; ou si ça valait vraiment la peine que je pleure comme ça. Enfin, que je pleure ou non ne changera rien. 
C'était elle, pas moi. Et bien fait pour moi.

dimanche 12 février 2012

Et allez, un peu d'espoir, ce n'est pas fini... La vie commence peut-être tard mais n'est pas tombée dans l'oubli...

Dîtes-moi ce que vous faîtes quand vous ne pouvez pas sortir de chez vous et que vous vous ennuyez à mourir ? C'est quoi votre méthode anti-déprime ? Dîtes moi ce qu'il faut faire pour aider quelqu'un en grosse chute psychologique ? Si cette personne n'est autre que votre maman. Dîtes moi ce qu'il faut faire si quelqu'un vous manque trop tout le temps ? Si vous devenez dépendante, si vous êtes amoureuse. Dîtes moi.. Comment fait-on pour savoir si quelqu'un tient à nous ? S'il est encore possible de faire marche arrière pour retrouver une amitié qui est maintenant toute déchirée ? Dîtes moi comment on sait qu'il reste un peu d'espoir dans ce qui nous entoure... ?

vendredi 10 février 2012

Ca fait quelques jours que mes amis me diagnostique comme étant bipolaire. Maniaco-dépressive en d'autres termes. Quelle bande d'incultes, c'est totalement faux. Je suis juste, j'en sais rien, lunatique peut-être. C'est comme ça, parfois des choses m'énervent et me rende désagréable avec tout le monde, je sais que je devrais pas. La seconde d'après je peux être la fille la plus heureuse de la terre. C'est assez horrible, j'en conviens. Rien qu'un mauvais regard d'une seule personne peut pourrir mes prochaines heures de la journée. Rien qu'un sourire peut l'embellir à souhait. Je nage dans la joie, et dix petites minutes après je veux me cacher et pleurer. En fait ils ont raison, je crois que j'ai un soucis.