jeudi 28 octobre 2010

Alors lui... c'est... un gros pot de colle. Non mais, qu'ai-je fais pour mériter ça ??? Le mec, il vient me dire bonjour une fois, et après il m'aime. MALHEUR ! Je pensais qu'il était passé à autre chose jusqu'à ce qu'il vienne me taper la causette sur Facebook : "I love you Ich liebe dich ti amo je taime" Et tout ça avec des cœurs... Euh comment dire... t'es gentil mais...
Vous devez vous dire, je devrais être contente qu'un garçon s'intéresse à moi. Mais pas LUI ! Du moins... non merci. Je fais un peu la fille qui a l'embarras du choix là non ? Ce n'est pas le cas rassurez-vous.

Ma petite sœur est officiellement délirante ! En ce moment, je l'admire. Elle a une capacité impressionnante à nous redonner le sourire. Et vas-y que je te raconte ma conversation intensive avec la mémé du coin, et pis vous saviez que "Moi j'ai déjà vu Twilight, ouais et pis même si maman elle veut pas, mais tu lui dis pas, hein tu le diras pas ? Dit Titi, tu peux appeler maman, comme ça, pour la convaincre que je peux voir Avatar, parce que les Harry Potter, j'les ai tous vu, donc je suis assez grande ! Pfff pis tout le monde l'a vu à l'école en plus." & "Youhou, vous avez vu mon livre ? Mon livre, hey, qu'est ce qu'il fait là, ah c'est toi ça. Très bien, eh ben tu vas voir un peu." ou encore "J'ai la permission de 11h00 ! Mais pas toi, toi demain, t'as cours !" Ellllllllle eeeessst mignonne. :D Les joies d'être encore insouciante. Oaw, je frôle la nostalgie les amis...
J'ai enfin décoté une mini poêle à pancakes ! Je suis méga heureuse ! Vous ne vous rendez pas compte du truc quoi ! Je vais pouvoir faire de vraies pancakes, c'est juste le top du top.
J'ai toujours pas fait le tiers de mes devoirs, et pourtant j'en ai la masse ! Je suis finie ! Non !... Je dois positiver ! "Avec Carrefour, je positive !" OMG, je suis tombée bas là. :O

J'ai envie que les derniers épisodes de GG, et de OTH sortent. Le temps est long.
Je n'hésite plus, en vérité le clone du gars aux céréales... il faut que je l'appelle autrement, ça commence à faire. Eh bien disons... le beau geek surexcité ?! Voilà. Eh bien, en vérité, il ne s'écoule pas la moitié d'une journée sans que je pense à lui. C'est terrible. C'est puissant en réalité. C'est indiscutable. Et puis cet autre garçon, est l'un des plus parfaits au monde, seulement je ne suis pas parfaite, j'ai besoin de quelqu'un qui comprend mes défauts comme je peux comprendre les siens. Autant dire que ça ne marcherait pas.

J'ai passé un bon après-midi, j'ai enfin revu mon chipmunk déjanté et capricieux. Que de bien, cela m'a fait. :)
Il est 6 : 44. Je ne pensais pas faire un aussi long article. Je dois filer, même si j'aimerais écrire encore pleins de choses. Il faut que j'arrête de reporter les choses à faire au lendemain, donc je me bouge, et je vais ranger ma chambre, aller préparer un truc potable à manger, et regarder HP5 en VO avec K. & K. n°2.

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9 : 26 > J'ai une question, vous êtes vous déjà tapé une grosse crise de fou-rires incontrôlables en ayant des courbatures ?
Je vous le déconseille fortement. J'en sors tout juste, et dès que j'essaie de redevenir sérieuse, pas moyen, c'est ça un repas avec deux zozos (oui K. & K. n°2), une petite enragée, et pas les parents. Vraiment j'ai mal à l'épaule et aux abdos. Je hais les courbatures...

mardi 26 octobre 2010

Ce stage d'anglais n'est pas si mal après tout. Le réveil est juste pénible.
En ce moment je doute de pas mal de choses. A commencer par mes sentiments. C'est dingue comme l'on peut s'attacher à une personne. Et je ne parle pas du clone du gars aux céréales, d'ailleurs il rentre de Paris aujourd'hui. Je parle d'un gars extra, avec qui je m'entends super bien, et je ressens vraiment le besoin de lui parler, au moins une fois par jour, et ça depuis peu de temps, 2 ou 3 jours. Mais voilà, tout se brouille, il y a ce garçon, mais il y a aussi celui-ci. Je suis un peu perdue. J'ai envie de dire je verrais par la suite.
J'ai enfin trouvé la force de ne pas flancher face à cet évènement récent, même si je pense à elle, à ce qu'elle va endurer, et à ces jeunes humains encore trop fragile...

Il y a aussi ma meilleure amie, elle est en Belgique pour la semaine. En fait, je suis un peu à l'abandon ces derniers temps. Mais ce n'est peut-être pas plus mal. Je réfléchis énormément. Je lis, ça permet de m'évader, de voyager.
J'ai envie de changer d'horizon pour quelques jours. Mes messages ne paraissent pas très positifs. Je ne sais même pas s'ils sont censés l'être.
Et pourtant j'arrive à rire un peu. Je me forge un visage joyeux.

dimanche 24 octobre 2010


Avec tous ces évènements récents, je viens de me rendre compte, que je ne vous ai même pas parlé de ce gars. Vous vous souvenez du clone du gars aux céréales ? Et bien c'est de lui dont j'aimerais vous parlez. Je crois que mes sentiments s'accentuent de jours en jours, et même d'heures en heures. Ce n'est pas quelque chose que je peux contrôler. Et le mieux dans tout ça, c'est qu'il n'y aura jamais aucune tension. Pourquoi ? Ça s'appelle y aller au feeling les amis. :)

samedi 9 octobre 2010

Allez viens, c'est bientôt la fin, de ce monde qui n'entend rien.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas pointé mon nez ici, je ne sais pas ce qui me pousse à le faire aujourd'hui. Il s'en ai passé des choses depuis ; cette réforme a été voté, et pourtant nous avons tout fait pour que ça ne le soit pas, finalement le monde n'entend toujours rien. Mais je ne suis pas venu pour parler de ça. Je crois... que j'ai besoin d'écrire. J'ai trop de pensées qui me trottent dans la tête, trop de choses dont j'essaie de me rappeler. Je crois que j'essaie de me souvenir d'un moment joyeux auquel je pourrais m'accrocher. En vérité je suis énervée, déboussolée, et même effrayée aujourd'hui. Je suis contente d'être allée à cette soirée, tout ça m'a vidé l'esprit, vidé un peu la tête, même si tout a faillit dégénérer, et même si je ne suis pas fière d'avoir passé ce coup de fil... j'aurais au moins comprit à quel point il s'en fichait. Peut-être qu'il essaie seulement de protéger son image après tout. Je ne sais plus quoi penser. Après réflexion... «Tu es assez fort pour me retenir et assez intelligent pour me laisser filer...» J'en arrive au lendemain matin, j'étais contente de ma soirée, tout semblait plus ou moins cool. Mais visiblement, la vie ne laisse pas de répit. J'ai la capacité de me mettre à la place des gens, quand ils dépriment, quand ils sont amoureux, quand ils parlent. J'essaie de ressentir ce qu'ils ressentent. Je n'aurais pas du essayer cette fois, je crois. Et je ne sais pas comment décrire cela. Et elle, pourquoi ne voit-elle l'importance des personnes dans sa vie, que lorsque quelque chose leur arrivent ?! J'ai de plus en plus de mal à répondre à ce genre de question. Tout cela frôlait l'indifférence, et voilà que par le malheureux des hasards, elle s'est rendu compte du temps, de l'arrogance de ses paroles... J'en viens même à me demander pourquoi le monde fait des efforts, alors qu'ils ne sont même pas considérés. Je crois que je vais exploser. Ma tête est en train d'étouffer sous la masse de questions que je me pose, je dois dormir, comme on dit, la nuit porte conseils.

J'espère en silence, je pense à toi, je sais que tu ne tomberas pas. Je t'aime tu sais.

lundi 4 octobre 2010

J'adore la pluie, tout en détestant la pluie. J'aime être trempée, mais je n'aime pas aller en cours quand il pleut, car tout le monde a l'air maussade. Je n'ai pas été parler à mon amie métamorphosée aujourd'hui, même si j'aurais peut-être dut. J'ai fait genre d'avoir mal au genou pour ne pas faire sport, et je suis restée au cage pendant 1 heure du coup..., de quoi avoir réellement des crampes au genou après. J'ai bu, à plusieurs reprises, une gorgée de cappuccino dans les verres de quelques personnes. Je suis allée voir le clone du gars aux céréales pour lui demander comment s'était passée la manifestation au quelle je n'ai finalement pas pu assister. J'ai pu avoir deux livres au lieu d'un, la prof de français devaient se débarrasser de quelques bouquins, et j'avoue, mordue de lecture que je suis, j'en ai grappillé un en plus. (a) J'ai rigolé intérieurement, lorsque deux filles de ma classe, nous ont critiqué, en faisant des allusions à haute voix, je riais du regard avec ma meilleure amie, c'était trop bon en réalité. J'ai pris un bus différent que d'habitude, le bus de ce matin avait lâché dans la journée, alors pour quelques jours, nous avons un bus de touristes, un beau bus vert. Je me suis assise à côté d'un gars, à qui je ne parle pas beaucoup d'habitude, et j'avoue, on a bien rigolé, et on est même pas mort pendant le trajet, on y a crût à plusieurs reprises pourtant. Maintenant que je suis rentrée chez moi, j'ai mes cours de maths et d'anglais à apprendre, demain j'ai deux interros, autant dire que je suis un peu dans la mouise ! Donc sur ce, je vous dis... la suite dans le prochain article !

dimanche 3 octobre 2010

J'me tape tout le temps la honte.


Bon, c'est vraiment ce genre de débilité qui commence à me coller à la peau, je me fou la honte toute seule. Non, j'avoue, des fois je suis aidée. J'étais persuadée que cette petite pouf l'avait embrassé dans le cou, quand elle s'était littéralement avachie sur lui. Résultat des comptes... elle le pinçait et le traitait de con, le reste, c'était parce qu'il ne l'écoutait pas (moi j'écrase pas quelqu'un quand il m'écoute pas, mais bon, peu importe). Il a vraiment dut me prendre pour une paranoïaque, ce que, je commence sûrement à devenir. J'ai ruiné la réputation que mon frère aîné avait construit en deux ans, en... une heure, je crois que je n'ai jamais parue aussi conne qu'en affirmant : ["C'est une feuille de chêne ! Euh... pédonculé ! Non ? Ben, c'est du Lierre alors... du noisetier ? Du Lilas ! Non, ben.. be.. beuuuh, euh..."] Mon prof d'SVT me prend pour une mongole excentrique, j'en suis quasiment sur. Il y a eu aussi, ce jour là... Je suis entrée dans une salle de cours, en dérangeant un cours, car il y avait un de mes deux profs. Pour finalement demander : ["Excusez-moi mais, c'est où le cours de LS ?! On est partagé en groupes cette semaine ?!" - "Non, là je suis avec les secondes 3, et le cours de LS, c'est dans une heure."] J'ai cru que je m'étais métamorphosée en tomate farcie, et inutile de décrire les rires que j'ai engendré lorsque je suis retournée dans le cours où j'aurais dut être depuis le début... Bref, y'a eu aussi ce gars, je pensais vraiment qu'il ferait la sortie au théâtre, un ami me l'avait même certifié. Donc toute contente j'arrive vers lui : ["Hey, alors comme ça, tu vas au Célestin Jeudi prochain ?! Et tu fais toutes les sorties prévues ?!" - "Euh... je vais pas au Célestin désolé."] Pffff, j'me suis ridiculisée. Je pense que ça ne fait que commencer. U.u

"Ecrire, c'est hurler en silence." [Claire Josserand]


Je n'avais pas faim, encore une fois, alors j'ai eu l'idée (très mauvaise l'idée) de boire un verre de coca, histoire d'avoir quelque chose de sucré, peut-être pour pas tomber dans les pommes. J'ai regardé les clips à la télé. Vraiment à chier ce programme Tv. Je suis sortie cinq minutes plus tôt que d'habitude, parce que je ne voulais pas croiser ma mère et son regard observateur sûrement. J'ai fais quelques pas avant de me rendre compte que je n'avais plus de pile dans mon Mp4. Voilà, là déjà, je suis de mauvaise humeur. J'ai croisé une amie, on a bavardé, et on a même rigolé. Je suis passée devant la maison d'un copain, et comme chaque matin je l'ai vu manger ces céréales. J'ai pris le virage juste avant d'avoir à continuer le trajet avec le gars qui arrivait, parce que j'avais rien à dire, et lui, ben il ne parle jamais. Quand je suis arrivée, j'ai attendu comme chaque matin, avec des gens, et comme je n'avais pas envie de sortir mon papier pour le bus, je suis montée par la porte de derrière. Et je me suis collée à la vitre, comme tous les matins, ou presque. Ma meilleure amie m'a confié un truc, qui a fait naître une tension négative entre mon meilleur ami et moi. Et du coup, je ne l'ai pas attendu aux arrêts de bus, en arrivant au lycée, même si je voulais voir son pote (vraiment... ce pote). Comme beaucoup de fois ces derniers jours, je faisais la gueule quand je me suis posée vers mes amis, et en plus j'avais super froid, alors j'ai attendu un moment plantée en tailleur au milieu des sacs ; et heureusement, j'ai vu le gars aux céréales, et son clone distribués des tracts pour les manifestations contre les retraites reportées. Alors pour passer le temps je les ai aidé, parce que faut l'avouer, c'est les seuls qui me font oublier mes soucis, en ce moment. Et comme à chaque fois, je suis revenue avec le sourire. Et puis il y a eu les cours, pompant les cours, et très long surtout, pourquoi ? Ben parce que c'était physique-chimie et maths peut-être. J'ai mangé avec deux filles restées intactes, deux fantastiques amies. Et puis je suis retournée en cours après avoir écoutée sa musique. Ça, ça m'a fait comprendre à quel point, je me suis gourée. J'ai cherché le garçon au pull rayé, je ne l'ai pas trouvé. J'ai terminé les cours à 16heures, et on est allés (mes deux amies, et un pot de colle) acheter des trucs à manger, et à boire, et j'ai passé la dernière heure avec le gars aux céréales, et un copain à lui, et avec par moment, mon couple préféré et un autre ami, et on regardait à quelque point, elles avaient changés. Je suis allée à la gym le soir, j'avais juste à descendre au gymnase. J'ai vu les larmes montées ce soir là. Et à partir de là, je n'ai plus rien compris. Elle était trop distante, ma meilleure amie. J'ai regardé les étoiles, je ne suis pas rentrée chez moi tout de suite, j'ai attendu 15 minutes dehors, dans ma ruelle étroite, adossée contre le mur, et j'ai laissé parler mes larmes et mes pensées. Je ne savais plus pourquoi j'existais. Ça arrive, du moins je l'espère, à d'autres aussi. J'ai envoyé quelques textos et j'ai franchit le seuil de la porte. Mes parents ne m'ont pas vue rentrer et j'ai mangé sans rien dire, et je suis allée me coucher sans rien dire. Et ils se sont disputés. Puis, je crois, que je me suis endormie...

samedi 2 octobre 2010

"Celui qui n'est plus ton ami, ne l'a jamais été." [Aristote]

J'aime quand tu me redonnes le sourire par un simple regard, et j'aime quand nos mains se croisent pour 'tchéquer'. Je suis heureuse de savoir que tu sais ce que le monde ignore de moi. T'es comme une part de moi. Un ami tellement unique. Ne croit pas que je ne le pense pas. Ce serait me vexer au plus au point. Je t'aime.

Je changerais pas pour vous. C'est bon, moi, je tourne la page. Autant entamer un nouveau livre.

Quoi que tu fasses, quoi que tu portes, quoi que tu dises, tout le monde est à l'affût d'un moindre faux pas de ta part. Mais en vrai, qui te connaît réellement ?! C'est vrai ça, c'est quoi cette façon de coller des étiquettes aux gens ? C'est peut-être tendance en ce moment. Et dans un mois, qu'est ce que ça sera ?